Mes idées, mes coups de gueules et des comédies musicales

Je suis tombé ce matin sur une étude à la fois très intéressante mais terriblement inquiétante. C’est un rapport sur les tirs de roquettes et d’obus de mortier depuis la bande de Gaza depuis 2001. Vous pouvez la trouver en cliquant sur ce lien. A la lumière de ces informations, je n’arrive pas à comprendre pourquoi les Palestiniens modérés, qui représentent probablement la majorité (en effet il me parait inconcevable que la majorité d’une population privilégie une idéologie fascisante à un travail, une maison, une famille, et de la stabilité), ne se lèvent pas contre ceux qui anéantissent tout espoir d’amélioration dans la région.

Quelques chiffres pour illustrer :

• Fin Novembre 2007, 2 383 tirs de roquettes avaient été identifiés dans et autour des localités du Néguev occidental
  • 10 civils israéliens sont morts, dont neuf résidents de Sderot.
  • 433 personnes ont été blessées, des civils en majorité.
  • Depuis un an et demi, plus de 1600 cas d’anxiété ont été recensés.
• Entre 2001 et Novembre 2007, plus de 2 500 obus de mortier ont été tirés.
  • 10 victimes, 8 civils et 2 soldats
  • 150 blessés, dont 80 civils et 70 soldats

A noter que les tirs d’obus de mortier avaient fortement diminué depuis le désengagement de l’armée israélienne de Gaza, mais qu’ils redeviennent courant en prenant pour cible les forces israéliennes positionnées le long de la barrière de sécurité, notamment. En fait, on observe que depuis l’érection de la barrière de sécurité, les attaques de kamikazes se sont raréfiées, étant rendues plus difficile par l’efficace protection de Tsahal, mais que du même coup, les tirs de roquettes ont littéralement explosé depuis le désengagement de Gaza en 2005 :

Au fur et à mesure des années, l’emprise du Hamas sur la bande de Gaza n’a fait qu’augmenter, et aujourd’hui, on peut s’interroger sur le bilan depuis le désengagement. Et ce qu’on observe, c’est que le Hamas, entité terroriste, a pris le contrôle de la bande de Gaza illégalement et par la force, et a accru les tirs de roquettes sur Israël, mettant 190 000 Israéliens sous la menace directe de leurs engins, sans parler de l’oppression inacceptable exercée sur les Palestiniens. Allez expliquer à des Israéliens que se retirer de Gaza a été positif…

Aujourd’hui, il y a une recrudescence de violences israélo-palestiniennes. Les radicaux palestiniens tirent des roquettes, et quand l’armée israélienne frappe les installations et les terroristes responsables, on crie à l’injustice et à l’assassinat. Même Mahmoud Abbas, modéré s’il en faut, joue un double jeu : il parle d’ « assassinat » de la part de Tsahal quand un tireur de roquettes se fait tuer… Même si, il faut le dire, il considère que les attaques de roquettes sont « futiles »… Quel mot bien choisi pour définir un acte innacceptable ! Donc, les radicaux palestiniens peuvent tirer des roquettes sur des civils, après tout, ils « résistent », mais les soldats israéliens doivent les laisser tranquilles… Et les médias français relatent ça comme si c’était normal de tirer des roquettes et de ne rien récolter en retour, au titre que la cause défendue par les islamistes serait juste, une cause qui défend l’élimination d’un Etat et de ses habitants ! Il faudrait demander à Khadafi ce qu’il en pense.

A côté de ça, les milliards continuent à pleuvoir sur le gouvernement palestinien… Quand on pense à tout l’argent qui a été versé pendant toutes ces années par l’Occident et Israël, à l’abri dans des paradis fiscaux ou investis dans des armes de destruction, ça me rend malade. Voilà d’ailleurs une étude très inquiétante qui établit une corrélation assez nette entre l’argent distribué à l’autorité palestinienne et les attaques perpétrées l’année suivante (source : http://www.danielpipes.org/article/5276) (en vert légende à gauche le nombre d’homicides, en rouge légende à droite l’aide en millions d’euros). C’est étonnant. Ou pas.

Je ne suis pas contre le fait qu’on donne de l’argent aux Palestiniens qui souffrent, mais encore faut-il s’assurer que cet argent leur parvient. Je cite juste à titre d’illustration, un extrait de l’article en question :

« Abbas a annoncé son objectif de collecter des promesses pour un total de 5,8 milliards de dollars d’aides sur une période de trois ans, de 2008 à 2010, lors d’une «Conférence des donateurs de l’Autorité palestinienne» à laquelle ont assisté 90 États lundi à Paris (sur la base de la meilleure estimation disponible qui fait état de 1,35 million de Palestiniens en Cisjordanie, cela équivaut à une somme d’argent ahurissante: plus de 1400 dollars par an et par habitant, soit à peu près le revenu annuel d’un Égyptien).  » (note : il en a obtenu finalement 7,4 milliards)

Ca ne veut pas dire que ça suffit pour vivre bien, mais ça permet probablement de construire des logements et de créer de l’emploi et des richesses, à n’en point douter. Bref, de sortir d’une situation d’assistanat total. Mais s’il n’y a pas de contrôle sur l’argent donné rien ne changera.

Petit rappel historique, tout de même. Depuis 1993, ce sont plus de 17 milliards de dollars qui ont été envoyés aux Palestiniens (dont 10 milliards de dons et 7 milliards par l’UNRWA), sans compter les 7,4 milliards promis à la conférence de Paris (source : http://www.libertyvox.com/article.php?id=285)… Dernièrement :

• En 2005, 1,1 milliards de dollars ont été donnés (source Wikipédia)
• En 2006, l’autorité palestinienne reçoit 1,5 milliards de dollars (dont 815 de l’UE et 468 des Etats-Unis)
• En octobre 2007, les Etats-Unis accordent 487 millions de dollars supplémentaires
• En décembre 2007, ce sont plus de 7 milliards de dollars qui sont accordés (dont 300 millions d’euros par la France qui, déjà en déficit, a été cherché cet argent d’on ne sait où, mais c’est une autre histoire)

Et je n’arrive pas à trouver de données sur ce qui se passait sous Arafat, mais ça ne devait pas être triste non plus. Alors effectivement, l’auteur de l’étude s’interroge : les Palestiniens ont-ils un réel intérêt à la paix dès lorsque les dollars pleuvent à n’en plus finir, sous l’œil bienveillant d’Israël et des puissances occidentales et arabes. Cependant, la propagande antisémite continue, et les violences également. Et M. Sarkozy, apôtre de la lutte contre l’assistanat, organise à Paris même une conférence internationale pour alimenter la dépendance financière d’un peuple (ou plutôt de ses dirigeants)… Alors il est passé où tout cet argent ?

Alors peut-être cette fois, cela sera différent… Mais j’ai le droit de douter. A l’heure où aucun pays arabe ne veut reconnaitre Israël comme Etat juif (un comble quand 95 % des Etats arabes se définissent comme islamiques), certaines personnes semblent avoir un intérêt certain à ce que la situation perdure. Tout le monde continue à cautionner les attaques palestiniennes intolérables, sous le prétexte fallacieux qu’ils se défendent. Et si c’est la misère à Gaza c’est la faute des Israéliens… Pas de la corruption qui a fait s’envoler les 17 milliards de dollars que les Palestiniens n’ont probablement jamais vus. En même temps, une idéologie fasciste telle que celle du Hamas ne peut pas subsister si le peuple ne souffre pas à en mourir… Sinon, comment accuser l’ennemi commun : Israël, et ainsi, alimenter la haine. L’histoire du monde…

Triste monde…

Tags: Israël, palestiniens, Proche-Orient

Mes amis, vous n’en finirez pas de m’épater…

Je parlais récemment dans un autre billet(oui à partir de maintenant, je ne parles plus d’article, mais de billet, c’est quand même plus chic…) de ce spectacle que j’attendais avec une impatience indicible. La nouvelle comédie musicale de Julien Salvia et Ludovic-Alexandre Vidal.

Je ne vais pas en remettre une couche… Ce spectacle n’a qu’un seul vrai défaut : il est bien trop court ! En effet, il s’agit ici d’une reprise du roman de Mark Twain, qui s’adresse en premier lieu aux enfants, et la comédie musicale remplit également cette mission, bien que des enfants de tous les âges (y compris avancés) y trouveront leur compte. Néanmoins, cette nécessité d’être vus par les enfants à partir de 6 ans impose cette faible longueur de spectacle.

Qu’à cela ne tienne : le spectacle est du coup très rythmé, servi par des personnages hauts en couleur (eux même honorés par un casting impeccable, mention spéciale à David Koenig, extra en méchant oncle), avec des ensembles ébouriffants.On retrouve bien là la patte Salvia/Vidal qui m’a fait vibrer avec Révolution ou l’Homme Qui Rit. On déplorera peut-être une scène un peu étroite au Tallia, mais bon il faut bien commencer quelque part.

Juste une petite private joke pour les connaisseurs des anciens spectacles de ces messieurs : ne vous inquiétez pas, il y a toujours une bonne vieille prison et une bonne vieille auberge, on n’est jamais perdus

Maintenant, la suite pour Julien en tout cas c’est une production francophone de Sweeny Todd pour le mois de janvier à Genève. Mais oui, l’adaptation du même musical que le prochain Tim Burton avec Johnny Depp… Ca promet

Le site de Le Prince et le Pauvre : http://www.leprinceetlepauvre.com

Tags: Comédie musicale, Julien Salvia, Le Prince et le Pauvre, Ludovic-Alexandre Vidal

Cher Jean-Jacques,

Je voudrais te parler de ma vie, c’est rare quand ça m’arrive. J’ai maintenant 24 ans, et ça fait pile 10 ans que j’ai découvert ton univers. Et d’aussi loin que je me souviennes, c’était une sacrée bonne idée… Je me souviens, c’était au mois d’avril 1997, et j’avais acheté le Best of Singulier, suite au carton des World’s Appart avec la certes médiocre reprise de la chanson Je te donne, que tu interprètes avec brio avec Michaël. Pendant ces 10 ans, j’ai été fidèle, j’ai acheté toute ta discographie y compris certains albums rares et les quelques inédits disséminés ici et là. J’ai assisté à un des concerts de la tournée En Passant. J’ai eu la chance de voir deux fois le concert que tu as donné pour nos pieds en 2002. J’ai pleuré quand Carole nous a quittés.

J’aurais rêvé d’assister à la tournée Rouge, avec Carole et Michaël, mais je me suis réveillé trop tard. 1997, ais-je dit. En plus le DVD intégral du concert n’existe pas vraiment, c’est plutôt un documentaire… J’avais 14 ans, et c’est ta musique qui m’a accompagné jusqu’ici et j’ai grandi avec tes messages et l’émotion de tes chansons. Pour moi aussi ça été très long, mais j’y suis arrivé, je suis allé au bout de mes rêves, et c’est sûrement au moins un tout petit peu grâce à toi… Je me retrouve dans ce que tu exprimes, j’ai l’impression d’être un peu comme toi. Comme des millions de gens, et même si c’est pas vrai je me dis toujours que moi c’est pas pareil… Alors maintenant je te le dis, je voudrais te revoir…

J’ai l’impression que tout n’est plus qu’ombre sur le paysage musical français, je trouve qu’il est gris. Clair ou foncé, ça dépend, mais gris… Tu manques, si tu savais… Certes, on peut te voir épisodiquement jouer quatre mots sur un piano avec ton compère Patrick Fiori, on peut jubiler si on parvient à récupérer des places pour les Enfoirés. Je me souviens que nos regards se sont croisés à Toulouse, lorsque tout le monde était en cosmonaute. Je suis revenu à Bercy et j’espère venir à Strasbourg cette année, mais il va falloir que je m’accroche. Mais ça ne remplace pas de nouvelles chansons. Non pas que je me lasse d’écouter les anciennes. Mais j’aimerais tellement faire découvrir à ma fiancée l’extraordinaire moment de plaisir et d’émotion que l’on passe lors que tu es sur scène, avec ta guitare à la main.

Il n’y en a pas tant que ça, des artistes qui peuvent faire vibrer des milliers de gens dans un même lieu avec une seule guitare. Une guitare et des chansons, c’est pour ça qu’on est là, dis-tu. Et là ça fait 5 ans que j’ai envie de revoir en face à face ta guitare gris métal qui me fait rêver. Regarde, même Michaël s’ennuie à tel point qu’il est allé perdre son temps dans le jury de la Star Academy… Tu changeais la vie, Jean-Jacques, et il suffirait d’un signe pour que la bouteille vide se remplisse de lumière.

Alors si en passant, tu pouvais venir quelques matins nous montrer que la musique peut encore être bonne, nous raconter d’autres histoires sur d’autres chemins… Tu es parti sans un mot, et là nous sommes dans le brouillard. Je sais bien qu’on y peut rien, que tu ne nous appartiens pas, mais si tu nous emmènes, je suis certain qu’on adorerait veiller tard ensemble… On pourrait commencer par s’envoler là-bas, où dans ce coin où il y a des odeurs de menthe. Et là-dessus je suis loin d’être minoritaire, je ne marche pas seul.

Je rêve que tu reviennes un jour en nous disant que tu commences demain. Si on t’avait pas, bien des vies seraient différentes, j’en suis convaincu. Si c’est pas de l’amour. En tout cas je peux te dire que nous on a pas changé. Il nous suffit de fermer les yeux et de mettre le volume à fond, et on se souvient.

Voilà je crois que tout est dit, j’espère qu’on ira ensemble faire encore un bout de chemin. Encore plus fort. Et si c’est pas le cas, on t’aimera quand même. D’hier à demain.

A bientôt, et sache qu’on…

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Jeu concours : J’ai compté au moins 46 allusions à des chansons de Goldman (peut-être plus, j’ai pas tenu le compte depuis le départ). Saurez-vous les trouver toutes ?

Tags: Goldman

Il m’est arrivé un truc que j’ai trouvé proprement hallucinant hier… Faut absolument que je vous raconte…

Je suis abonné à Bouygues Telecom depuis 7 ans et demi, et ça fait depuis la même période que je paie un abonnement mensuel à cet opérateur. Il y a deux ans j’ai souscrit à ce qu’ils appellent l’Avantage Jeunes, réservé aux étudiants de moins de 26 ans, qui permet d’avoir 6 heures supplémentaires le soir à partir de 21h30 vers fixes et Bouygues et de 60 SMS, gratuit sous réserve de réengagement sur 24 mois.

J’ai reçu ma facture du mois de décembre qui, ô surprise, est de 20 € supérieure à ce qu’elle aurait du être (n’étant pas un grand consommateur de mobile, je peux vous dire que c’est du haut pourcentage, genre plus de 30 % de ce que je paie tous les mois…). En effet, on me facture un avantage jeunes pour le mois de décembre de 10 € + un rattrapage de 10 € pour le mois de novembre qu’ils avaient zappé (volontairement oublié ?) sur la précédente facture. En effet, l’offre est arrivée à échéance, et sans prévenir personne, on me taxe deux mois parce qu’évidemment, si tu ne dis rien, on te prolonge l’offre, mais tu paies… Comme si je cochais tous les mois sur un calendrier pour savoir à quel moment mon offre jeunes allait s’arrêter… Surtout que j’étais persuadé que ça s’arrêtait, mais non… Et alors quand tu t’engages, tu peux toujours chercher le moment où on te dit qu’à la fin ça continue. J’ai mis du temps, et j’ai fini par trouver ça sur un document pas facile d’accès. C’est quand même une logique extra de te dire : »on t’offre pendant 24 mois l’avantage jeunes »… Toi tu te dis, bah après 24 mois c’est fini. Ben non. Logique.

Ni une ni deux, je contacte par email le service clients qui me rappelle le lendemain, c’est-à-dire hier. La dame me propose gentiment de m’offrir l’avantage jeunes et de me rembourser si je me réengage sur 24 mois. Si je veux pas me réengager ? Ben je paie les 20 €. Super esprit pour un client quasi historique (été 2000 je sais pas si ça vous parle, mais à l’époque, on était pas 40 millions à avoir des mobiles). Non seulement je n’ai pas eu un seul geste commercial digne de ce nom pendant cette période, mais là ils sont en train de me saouler pour 20 malheureux euros… Sous le coup de la colère, je lui ai dit que j’allais faire opposition au virement et que j’allais résilier. C’est une option effectivement séduisante, mais je me dis que j’ai pu tomber sur une conseillère débile qui ne sait pas bien ce que signifie soigner un client, surtout quand il est gentil comme moi Donc, bonne poire, je vais les rappeler. J’attends juste d’être calme

Note amusante : je me fais raquetter de deux mois d’avantage jeunes sur la même facture, ça manque pas d’humour. On me prélève le mois de novembre, et d’avance le mois de décembre. Ca ressemble franchement à un coup fait exprès pour les étudiants oublieux de leurs engagements sur 24 mois, excusez du peu. Et ça tombe encore sur les étudiants. Moi, encore je m’en fiche un peu des 20 € mais sur le principe ce sont vraiment des méthodes d’extorsion dégueulasses. Je pense que je vais résilier mais ça m’ennuie parce que globalement à part ça je suis content et puis je n’ai pas très envie de changer de numéro, mais je suis franchement écoeuré… Ce n’est pas pour les 20 €, c’est le principe.

Voilà le monde dans lequel on vit et les vices de la société de consommation : l’argent rend con, et une entreprise qui se dit « de service » sait même plus ce que signifie le mot « service »… C’est bien lamentable. En même temps, je ne découvre pas, mais je suis toujours surpris par la sauvagerie du système.

Tags: arnaque, Bouygues Telecom

Comment passer à côté ? Comment ne pas parler de mes géniaux copains Ludovic et Julien qui viennent de pondre une nouvelle comédie musicale, après Révolution et L’Homme qui Rit. La particularité de cette comédie musicale, c’est qu’ils vont la jouer avec des vrais professionnels dans un vrai théâtre, le Tallia en l’occurrence. Il s’agit d’une adaptation musicale du célèbre conte pour enfants Le Prince et le Pauvre. Synopsis ? Synopsis.

Londres, 1546.

Tom Canty, un petit enfant pauvre, rêve d’être un vrai prince, comme on en trouve dans les contes. Alors qu’il est dans les rues de Londres, il rencontre Edouard Tudor, le jeune prince héritier de la couronne d’Angleterre, qui rêve quant à lui de connaître la vraie vie et la liberté.

Se rendant compte qu’ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau, ils décident de changer d’identité le temps de quelques heures afin de réaliser leur rêve.

Mais les mésaventures commencent alors que le jeune prince se retrouve seul dans les rues de Londres et que son oncle, le sombre Lord Hertford, décide de profiter de ce jeu d’enfants pour mettre la main sur la couronne d’Angleterre…

Je n’ai pas encore eu la chance d’assister aux représentations mais il est certain que ça va encore être de l’excellent, comme d’habitude. J’ai trop hâte.

En attendant, je fais un peu de pub. Vous pouvez :

• aller sur le site du spectacle en cliquant ici (notamment pour acheter des places ).
• aller lire une interview accordée à Regard en Coulisse
• aller sur le myspace du spectacle

Maintenant que j’ai mâché le travail, plus personne n’a d’excuses… Honnêtement, il faut en profiter. Si ça continue comme ça les spectacles de mes amis vont coûter beaucoup plus cher à l’avenir. Ca se trouve même un jour ils voudront plus me parler… Hé, les copains, vous me faîtes pas ça hein ???

Tags: Comédie musicale, Julien Salvia, Le Prince et le Pauvre, Ludovic-Alexandre Vidal